DONNES
Les donnes remarquables
Les chroniques de Cronier
Source : journal Libération des samedis-dimanche. Vous pouvez envoyer vos questions, remarques ou suggestions à l'auteur de cette rubrique
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Quel est le bon plan de jeu ? |
Enchères compétitives ! | |
Un mauvais chelem | |
Une ouverture contestable | |
Une séquence mouvementée | |
Une manche à 7 atouts meilleure que 3SA |
Les coups répertoriés
Source : B.Bridge Autres sites traitant du même sujet : Bridge 2000
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Manoeuvre rare consistant à raccourcir les deux joueurs de flanc pour ensuite "marier" leurs gros honneurs d'atout. |
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Nom donné par Ely Culbertson à l'erreur qui consiste à couper prématurément une carte de la main longue, avec un atout qui aurait pu arrêter une couleur affranchie. |
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Manoeuvre fondée sur des coups à blancs orientés. inventeur : Bertrand Romanet |
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Manoeuvre consistant pour le déclarant à laisser passer l'entame
du R dans RD, pour inciter l'entameur à rejouer la D vers la fourchette AV du déclarant. origine : d'après le nom de la station balnéaire britannique où ce coup fut employé par des joueurs de Whist au siècle dernier |
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Manoeuvre consistant à jouer petit des deux mains pour conserver une communication dans la couleur pour pouvoir ensuite bénéficier d'un pli de longueur. |
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Donner l'illusion d'un changement de main avec un petite carte du mort, mais qui restera maîtresse sur celle, minuscule, de la main cachée du déclarant, pour pouvoir ensuite bénéficier d'une défausse dans la couleur restant au mort. |
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Manoeuvre consistant à forcer un honneur mal placé pour valoriser une carte inférieure de la main, grâce à la chute d'une carte intermédiaire ou par un transfert d'impasse. |
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Squeeze simple utilisant deux menaces bloquées symétriques dont chacune peut servir de rentrée à l'autre par une espèce de chassé-croisé dont il tire le nom |
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Transfert de perdante vers la main non dangeureuse, pour détruire
une communication adverse et détruire une coupe. Ce coup était autrefois appelé "coup sans nom", jusqu'à ce qu'on lui trouve celui-ci |
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Cette manoeuvre, très rare, consiste à escamoter une perdante annexe en obligeant le flanc à couper, soit dans un (ou deux) honneur sec, soit dans un honneur long, pour ensuite marier les honneurs restants devenus 2-2 ou 1-1 |
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Manoeuvre consistant à subtiliser au passage une levée manquante dans une couleur, sans que l'adversaire ne puisse l'empêcher sous peine de l'affranchir, avant d'établir radicalement une autre couleur. |
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Evoque les "machoires" de la fourchette AD qui s'ouvre pour débloquer le Roi sec du partenaire. |
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On arrache à l'adversaire toutes ses bonnes dents pour l'empêcher de mordre... |
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Jeu de débloquage imaginé par G.B. Deschapelles consistant à offrir un Roi au déclarant. |
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Jeu de réduction d'atouts avec placement de main permettant à deux cartes de la fin de prendre un honneur second de l'adversaire qui était apparemment imprenable. |
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Sacrifice d'un As pour créer une rentrée chez le partenaire qui possède les cartes de la chute. Origine : Ce coup aurait été appelé ainsi par Jacques Blaizot qui l'aurait vu exécuter par l'empereur Bao-Daï. |
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Manoeuvre qui consiste à couper avec un atout qui n'est pas maître en passant à travers l'atout maître de l'adversaire. |
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Nom donné par Reese à une forme particulière de squeeze. |
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Jeu de réduction d'atouts reposant sur des coupes spectaculaires de cartes maîtresses. |
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Manoeuvre consistant à effectuer une coupe sans avoir éliminé tous les atouts adverses, en espérant que le possesseur des derniers atouts sera long dans la couleur et ne coupera pas. Inventeur : le Dr Guillemard, expert français. |
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Manoeuvre trompeuse consistant à présenter la D avec Dxx face à Axx. |
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Nom donné par Jacques Delorme à la défense consistant à prendre rapidement la main pour contrattaquer sans délai une autre couleur. |
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Sorte d'Impasse, mais à l'atout. |
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En flanc, fournir une carte inutilement forte pour garder une communication avec le partenaire |
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Manoeuvre consistant à sacrifier un Roi pour supprimer à temps la remontée à l'As de l'adversaire. Origine : le nom évoque un sacrifice utile : celui du bateau qui s'était volontairement échoué en 1898 dans la rade de Santiago du Chili pour empêcher la sortie des bateaux de guerre espagnols. |
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Contre-temps soumettant l'adversaire possesseur d'un As à un chantage, lorsqu'on possède une possibilité de défausse par ailleurs. Inventeur : l'expert américain Milton Work. |
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Coup consistant à obliger l'adversaire à donner deux fois dans coupe et défausse. Inventeur :Albert Morehead. |
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Coup où la défense ne peut ni prendre sa levée, ni duquer sans perdre une levée. La fourchette n'est pas bridgesque, mais bien un couvert de table : c'est celle de John Morton, archévêque de Canterbury au temps du roi Henry VII d'Angleterre. |
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Impasse inutile par ailleurs, mais servant aux communications. Origine : employée lors de championnats d'Europe d'Oslo en 1958. |
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Refus d'une devise bridgesque répendue (honneur sur honneur, pour débloquer le Roi sec du partenaire. |
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Manœuvre d'évite décrite dans le bridgeur N° 900 de Décembre 2015. |
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Forme spectaculaire de "coup en passant". Origine et inventeur : nom donné par Coffin à ce coup "d'illusioniste". |
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Jeu de destruction de rentrées pour isoler l'adversaire dangereux, baptisé ainsi par Culbertson. Ce coup est aussi maintenant connu sous le nom de "coup du ciseau". |
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Coup "en passant" en défense, destiné à promouvoir un atout du camp de la défense. |
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Nom donné par Térence Reese à un squeeze à retardement avec placement de main permettant d'aller chercher au mort une carte maîtresse qui était inutilisable faute de comunications. |
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Situation où l'atout d'un flanc est promu par la surcoupe à l'atout déclarant (souvent confondu avec le swing). |
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Manoeuvre recommandée par Sophocle Vénizélos, consistant à jouer l'As de la couleur où l'on veut bloquer l'adversaire avant que ce dernier n'ait eu une indication de son partenaire montrant la présence de la Dame dans son jeu, signalisation qui permettrait de débloquer le Roi et de faire chuter le contrat. |
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Manoeuvre qui consiste, au cours de la préparation d'un squeeze, à isoler la menace placée à côté de la squeezante. origine :répertorié pour la première fois dans un club de Vienne. |